les-bernier-decouvrent-les-iles

Sans tambours ni trompettes, sans wifi ni Internet, les   Gr. P. Mat  sont, comme les canards  , tous  jours  vivants .

Comme  vous le savez , depuis que nous  avons quitté la Martinique ,nous sommes tous deux des immigrés clandestins , non masqués ( ayant  oublié cagoules et Kalachn….à W.O.) ,  mais les polices locales ne nous ont pas encore interceptés.  

Etant des terriens  ( je ne dirai pas que je suis un cul terreux ) ayant jusqu  ‘il y a peu passé nos existences à arpenter le plancher des vaches---  de préférence quand elles sont absentes--- , notre  vocation tardive  vise à nous maritimiser ……..

En pratique ,le cata , qui  est très marrant ,  nous gratifie souvent   de coups de roulis ou de tangage , auxquels nous commençons à résister  , çàd que nous nous retrouvons moins fréquemment sur le postérieur .  Les bleus , ici ou là  ( vous voyez………..) n 'en persisteront  néanmoins pas jusqu’au  retour  à notre vie de  bipèdes.

Heureusement Irina et Geo nous  entourent de leur  affection et de leurs soins  .    Irina nous constelle  de crèmes  protectrices et de pommades cicatrisantes de sorte que ceux qui nous reverront  dans une huitaine ne nous confondent   pas  avec   des Sénégalais ….

Mais nous  n’ avons pas encore envie de partir .  Nous nous trouvons si bien dans ces Antilles  ,   avec la joie de vivre  des jours heureux avec  nos chers enfants et petits enfants.

Barre point , comme   disent les   barreurs  de catamarans .   C   et  J .