les-bernier-decouvrent-les-iles

les-bernier-decouvrent-les-iles

10 Avril, Punta Cana, ils sont arrivés

Blancs comme du linge de maison, Isaline, Alban (mon frère) et leurs enfants Loïc, Clara et Estelle ont finalement trouvé le chemin du ponton pour rejoindre Camille. Il faut dire que cette Marina/Condo est gigantesque et qu’il faut une voiture de golf pour se rendre de la main gate au bureau de la marina et puis au ponton mais… après avoir cherché pendant 10 min les clefs de sa voiturette de golf, le chauffeur ne savait pas où nous étions amarré. Nous transmettons donc le numéro du ponton inscrit sur la facture par sms à Alban. « no existe este número » leur dit le bonhomme…Un comble.  Finalement avec un peu de bonne volonté et de coups de biniou aux gardes disséminés un peu partout, ils nous trouverons.

La marina est plutôt luxueuse (et en devenir, les sanitaires ne sont pas complètement terminés). Contrairement à ce que j’ai lu sur le net et dans les guides, parfaitement accessible et très bien balisée – bien que le chenal soit un peu étroit. Notons qu’il est intéressant de faire son entrée en République Dominicaine dans une marina car les « officiels » (Immigration, Navy, Customs, Agriculture, Renseignements Maritimes et Force anti-drogue – ils remplissent à eux seuls une voiture de golf maxi format) sont un peu surveillé par le personnel de du port et ne demande en principe « que » les taxes officielles. S’en suit une inspection du bateau, tous en chaussure évidemment… Comme aucun ne porte d’uniforme, on ne sait pas qui est qui…

Pour ne plus commettre l’erreur de naviguer avec nos hôtes dès le lendemain de leur arrivée, nous avons consacré la journée d’aujourd’hui aux courses et à la piscine.

Je ne sais pas ce que nos femmes ont promis à Luis (le chauffeur de la marina) mais toujours est-il que, après l’avoir appelé à la VHF, il est venu les chercher au bateau, à la gate il a pris son pick-up, les a accompagnée au supermercado, les a attendues, porté leurs courses et les a ramenées au bateau. Gratos…

Demain, nous partons très tôt vers Samana car la route est longue. Comme la Marine militaire n’est pas encore levée à cette heure-là, il faut glisser un billet pour que son représentant fasse le document de sortie (« despacho », obligatoire dès que l’on quitte un port vers un autre) aujourd’hui en le datant à demain…

Ce vendredi, le weekend commence et les bars/discothèques déversent leur décibels.

Joe

PS: par respect envers ma famille, il n'y aura pas de photos d'eux avant qu'ils ne prennent quelques couleurs.

Alors, voici un très beau pélican.

DSC_0794comp.jpg



11/04/2015
2 Poster un commentaire
Ces blogs de Voyages & tourisme pourraient vous intéresser

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 56 autres membres