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Comme je n’ai pas trouvé le lance-torpilles, j’ai cherché des missiles, puis un bazooka… on avait bien le harpon mais sa portée est limitée par rapport à l’emplacement de ce maudit rafiot à moteur qui nous a emmerdés toute la nuit ! Enfin, cela n’a pas entamé notre bonne humeur et nous avons passé une bonne partie de la journée à la plage, profitant de l’infrastructure hôtelière.

Fin de journée, Irina et Jeanne sont parties à la pêche après une session express sur l’utilisation d’un fusil sous-marin. Pleins d’espoir, Tom et moi les avons attendus avec l’outil à écailler en main… Si Jeanne a parfaitement rempli son rôle de « renifleur » (elle traque le poisson comme personne ; l’élastique est si dur à remonter que ma chérie n’a eu droit qu’à un coup. Mais ce n’est pas un coup dans l’eau (ha ha ha) car maintenant, ma belle est mordue (re- ha ha ha) et comprend pourquoi on reste des heures à traquer le poisson.

Aujourd’hui nous sommes à Esperenza pour accueillir Papy et Joëlle, nos derniers hôtes !

Joe

Lou, qui ne savait pas nager avant de partir, a pris beaucoup d'assurance

son papa aussi